samedi 6 novembre 2010

Ping Pang Time ou l'école de l'empire céleste

Découverte culturelle s'il en est, je me suis confronté à une chinoise et un chinois au ping pong.

Bien que j'ai fréquenté la prestigieuse et vénérable école de la table en béton de la piscine d'Orbe dans les années 90, je peux dire merci à Jan de me maintenir à niveau lors de notre rendez-vous mini-tennistique semestriel. Parce que là, on ne peut pas dire qu'on était là pour rigoler, ou alors intérieurement. Une heure et demi d'intense concentration, pas un mot si ce n'est le score, pas une once de déception ou de satisfaction, pas un commentaire, juste du ping pong. Et biensûr, à la moindre hésitation de ma part, des kawabunga Bruceleeciens dans ma face. Je me suis déjà vu déconcerté à leur prise de raquette en porte-plume voir coréenne, mais ce n'est rien comparé à la rapidité d'exécution. Heureusement que mon jeux, que je qualifierai de beaucoup plus "latin", improvisé et fleuri, comme mon vocabulaire, parvient un peu à les décontenancer, parce que sinon, il est certain que les jeux blancs fleuriraient abondemment. Les parties à 11, 2 services à la suite s'enchaînent toutes les deux minutes environ, une vraie industrie.

Ce n'est qu'à la fin, une fois la tension retombée, que j'ai pu leur décrocher quelques mots. Non, ils n'ont jamais joué dans un club, juste comme ça pour s'amuser. Ils ont trouvé l'ambiance incroyable, comme au temps de l'université. Ah bon ? Pour moi ce fut pour le moins différent de mes session estivales à la piscine. Mais je dois dire que j'ai bien apprécié et que je vais remettre ça. Ils étaient d'ailleurs tellement enthousiaste qu'ils veulent rééditer la chose... tous les soirs ! Je vous le dis, pas de demi mesure avec eux ! Jan, tu vas pas voir le jour quand je vais rentrer !

mardi 2 novembre 2010

Changement d'heure



Dernier recours pour éviter de travailler mon suédois, mettons à jour cette page !

L'automne fut magnifique, mais je crois bien que le changement d'heure a définitivement sonné le glas de la normalité saisonnière. Derrière de vagues idées économistes certainement dépassée, le changement d'heure surgi deux fois par ans. Personnellement, je n'en vois pas vraiment l'utilité, hormis que je préfère la version automnale qui donne l'opportunité de pouvoir se traîner toute la journée sans jamais être en retard. Mais si ce changement ne m'affectait guère en Suisse, je dois avouer qu'une nuit tombant soudainement à 16h15, ça choque. Surtout quant on sait que cela doit encore aller décroissant deux petits mois. On se réjoui !

Allez, deux trois clichés pour montrer que quand il fait beau (souvent en fait), c'est beau (tout le temps en fait) ! Et puis je vais bûcher mon svenska, parce que bon, il y a examen la semaine prochaine !







lundi 25 octobre 2010

Prémices de l'hiver ou quand un grand canard blanc se traîne sur l'autoroute, c'est un cygne

Soudainement, l'herbe blanchi et la terre durci. Ainsi le voile hivernal tomba.

Je ne dirai pas que l'hiver m'a surpris. Mais il y a quelque chose de fondamentalement différent entre l'automne Stockholmois et ceux auxquels je suis habitués. Vous savez qu'à l'entre saison, il est des jours où d'une part on ne sait comment s'habiller et d'autre part, on est certain de se les peler à un moment et de suer comme un boeuf au moindre rayon de soleil. Et bien ici, que nenni, Ça caille sec direct ! Attention, je ne vous parle pas d'un froid humide, pourri voir novembresque. Je vous parle d'un froid sec de janvier, entre ± 5°C et grand soleil. Comme me l'a fait remarquer Eva à maintes reprises, une différence moyenne et quotidienne d'environ 10°C était à déplorer durant tout l'automne en se déplaçant de 2000km au nord. Je vous l'accorde, la bise, c'est quelque chose, d'autant plus quand elle est noire. Mais ici, le nordan vind vient tout droit du grand nord et pousse l'expatrié moyen vers les frusqueries équipées en peaux d'ours fourrées à la graisse de phoque. La neige à également fait une brève apparition, au niveau de la mer faut-il le rappeler, et, bien que la première, celle-ci faisait déjà le caractéristique "crunch" à chaque pas.
Gentiment je constate aussi le manque de motivation du soleil à s'élever dans le ciel. Si celui-ci est encore bien présent, il se fait de plus en plus rasant. Je sens que c'est propice à une imminente dégénération ou comme disait l'autre, que l'on me passe un cric !

Brève de la vie Stockholmoise. Je prend un bus navette chaque matin pour me conduire entre les deux parties du Karolinska Institutet. Ce matin, un jeune cygne partiellement dégrisé se débattait au milieu de l'autoroute tel le goéland baudelairien. Il semblait avoir été chahuté par un pendulaire peu regardant. Notre chauffeur s'arrête et descend du bus avec l'un des passagers. Celui-ci attrape l'épouvanté volatile au milieu des voitures le contournant. Il veut le remettre à l'eau, mais nous nous trouvons au milieu d'un pont du centre ville. Tout trois remontent donc dans le bus et nous continuons notre chemin avec un cygne blessé mais calme car peut-être conscient que, pour une fois, l'homme ne lui veut pas du mal. Une autre appelle la police, le chauffeur quitte l'autoroute, avec ses 30 passagers, et nous attendons tranquillement l'arrivée de quelqu'un. La radio parle d'un cygne sur l'autoroute, mais non, il est dans notre bus. Il semble que cela soit un peu long. Le chauffeur fait demi-tour, descend au bord de l'eau et le bienfaiteur relâche la bête juste avant de se griffer le visage en se gaufrant sur une plaque de glace. Une équipe d'un centre local pour animaux est un route. Tout le monde repart comme si de rien n'était. J'en connaît beaucoup qui l'aurait contourné, certains qui l'auraient achevé, mais agir comme ca, ma fois, je dis monsieur!

Somme toute un lundi matin comme un autre sur les rives suédoises.

vendredi 8 octobre 2010

10.10.10

partir revenir s’échapper se fiancer voyager découvrir vivre partager écouter sentir ressentir réfléchir penser lire projeter imaginer rêver planifier aimer regarder comprendre apprendre oublier entendre admirer pleurer aider toucher caresser regarder vieillir mûrir grandir

Tout ça en 30 ans...

MERCI

lundi 4 octobre 2010

Topp-Loppet 10km


Je vous l'accorde, le nom de la course n'est pas très flatteur mais loppet veut bien dire course.

Un 10km quasiment dans mon jardin. J'habite juste au pied de la tour que l'on voit sur la photo. Petite boucle de 5km dans Hagaparken à parcourir deux fois. Une belle journée d'automne à gambader autour du château du couple princier fraîchement marié. L'avantage des courses très populaires est que l'on se sent toujours très fort. Si je suis plus que satisfait de mon temps 40'27'', je ne pensais pas que cela me donnerait un 8ème rang sur 898.

Bref, bien sympa cette course et à l'année prochaine !

vendredi 1 octobre 2010

Mil

Aujourd'hui, apprenons quelque chose !

Lorsqu'un(e) nordique (pour ne pas dire blond(e), ne propageons pas le mythe) vous dis que ce joli petit coin de nature n'est pas très loin de Stockholm, seulement 10 mil, ne comprenez pas que la petite balade dominicale à vélo sera très appropriée pour s'y rendre. Parce que si, comme moi, vous pensez que cela fait environ 16 km, vous allez être un peu déçu. Il se trouve que sous ces latitudes, le mile vaut 10 km. Je l'ai même vu sur une publicité pour une voiture consommant 0.45 L/mil. Le plus amusant, pour moi, fut de constater qu'ils ne savent pas que cette unité leur est propre.

En conclusion, je ne suis qu'à 200 mil de chez moi. Un jet de pierre quoi !

lundi 27 septembre 2010

Temporary Stockholmer


Par un heureux hasard, j'ai découvert que mon blog était cité sur le celui de Daniel Lampinen, Temporary Stockholmer. Celui-ci évoque brièvement, la plupart du temps, les petites choses qu'il observe ou vit à Stockholm. Il se considère un peu comme un expatrié bien qu'il vienne simplement du nord de la Suède. C'est donc un regard un peu différent apporté par un suédois sur Stockholm. Je ne sais pas vraiment comment il m'a trouvé, mais mon site apparaît dans son post sur les expat blogger à Stockholm, sympa !

Personnellement, j'avais découvert son site car l'édition 2010 du Lonely Planet : Stockholm en quelques jours (p.66) le mentionnait.

lundi 20 septembre 2010

Un 19 septembre qui ressemble à un certain 29 novembre




Chronique politique courte mais suffisante sur les élections du 19 septembre 2010.

Comme chaque 4 ans, les suédois se sont rendus aux urnes ce dimanche pour élire leur parlement. Ensuite, ce parlement se charge de tout régler sans que la populace ne soit appelée à voter. Les partis de gauche se ralliant au parti principal et de même à droite pour former deux entités bien distinctes. Jusqu'à présent et pour les 4 ans à venir, la majorité est à droite. Mais il faut savoir que leur droite est plus proche de notre centre que d'un parti que je ne citerai pas.

Mais coup de tonnerre ce week-end. Un nouveau parti est apparu, le parti des anti-immigrants social démocrates. Ledit parti a gagné 20 sièges sur 360. Il s'agit d'un parti plus à droite qu'à droite. Autant dire que le réveil du lundi matin a eu pour moi un arrière goût d'après votation du 29 novembre en Suisse. Si l'interdiction des minarets m'avait fait honte jusque dans mes tripes, j'avoue ici une certaine honte par procuration. C'est pourquoi j'étais sur Sergel Torget pour voir ce qui s'y passait lundi soir. 10'000 personnes mobilisées par fesse de bouc, comme quoi les outils modernes peuvent avoir du bon les rares fois qu'ils sont utilisés à bon escient.

Un espoir subsiste. Ces 20 sièges semblent être assez nombreux pour empêcher les deux blocs suscités d'avoir la majorité au parlement. Car il faut savoir que ni la gauche, on pouvait s'y attendre, ni la droite ne veut avoir à faire avec ce nouveau parti. Ces deux devraient donc se trouver obligés de se mettre d'accord. Si un meilleur dialogue est ouvert, je crois que l'on a trouvé la seule utilité à ce nouveau parti.

Bon, au moins je me rassure en me disant qu'ils ne sont que 5%... et pas 30%, comme ailleurs...

dimanche 19 septembre 2010

Flashback


Je sais, on va me dire que je vais dans tous les sens chronologiquement parlant. Mais bon, la règle n°1 de ce site est que je fais ce que je veux et la règle n°2 est que je fais ce que je veux. A savoir qu'il n'y a que deux règles.

Début août, j'ai eu la visite de mes parents pour quelques jours. Je ne vais bien entendu pas faire ici une description minutée de leur séjour, mais juste donner un ressenti pris sur le vif et relaté quelques semaines après. Cela fait bien douze ans que je n'avais pas passé autant de temps avec eux. Cela permet de se retrouver autrement, de ne pas discuter que de la pluie et du beau temps, de partager plus qu'un repas. Parfois le cours de la vie fait que l'on se voit moins. C'est un peu comme un vieil ami que l'on revoit. On pense avoir mille choses à se raconter et en fait, on ne sait pas quoi se dire. Pas que l'on soit mal à l'aise, mais il y a peut-être trop à dire et les idées se bouscules dans la partie émergée de mon cerveau. Pour ma part, et je sais qu'il en est de même pour certain(e)s, il me faut quelques jours pour retrouver la complicité. Parce que c'est comme le vélo ou le ski, ça ne s'oublie pas. Il faut juste un peu de temps pour s'ouvrir comme avant. Et bien je pense qu'avec les parents, c'est pareil. J'ai vraiment eu du plaisir à vous faire découvrir mon petit bout de monde tout beau tout neuf, du moins à mes yeux. Je dirai même que cela m'a fait du bien de vous retrouver.

J'en profite aussi pour vous répéter à quel point je suis reconnaissant de tout ce que vous avez fait pour moi. Comme le dit l'adage, sans vous, je ne serai pas là et je serai encore moins la personne que je suis aujourd'hui. Merci !

Stockholm Halvmarathons


La douce impression de prendre part à une grand messe proche d'une religion en ces terres boréales. C'est une des choses qui peut marquer à l'arrivée à Stockholm. Les parcs publiques et les forêts sont pleines de coureurs du dimanche. Faisant partie de l'un deux depuis quelques années, ma grande carrière de coureur de fond avait duré deux petites années et c'était bien calmée en fin de doctorat. Je n'ai pas fait beaucoup de courses dans ma vie, mais il n'est jamais trop tard pour bien faire. J'ai donc participé à mon premier semi-marathon sur route dans les entrailles de Stockholm. Norrmalm, Kungsholmen, Gamla Stan et Södermalm, le parcours est vraiment magnifique. Résultats : 1h35, deux ongles de doigt de pied noirs, des courbatures pour trois jours et un très bon souvenir.
Merci à Virginie et Caroline pour le coaching. Quelques jours en visites et dans l'obligation de subir ça, mon stress pré-pubère d'avant course, mon alcolo-abstinence de 24 heures, mes complaintes en courbatures d'après course, etc. Mais pour ma part, j'y ai pris bien du plaisir et le restaurant trouvé par la suite s'est avéré plutôt pas mal, et leur vin aussi ! Bref, excellente soirée et un zombie à la gueule de bois et pétri de douleurs au réveil le lendemain, que du bonheur.

Je m'étais dit que si cela se passait bien, je m'inscrirai au marathon de mai prochain. Mais, bon, voilà quoi, on va encore se laisser un petit délai de réflexion ! misère...

lundi 6 septembre 2010

Färgfabriken



Bienvenue dans l'une des antres de l'art moderne à Stockholm, j'ai nommé la Färgfabriken. Sise dans un ancien quartier industriel du sud de Stockholm, cette ancienne fabrique de tondeuse à gazon respire le charme incertain de l'air industriel. Difficile à trouver, mais lieu au combien intéressant. En ce moment, il s'agit de "maison" imaginées par des enfants dès 5-6 ans et construites par des adultes. Le résultat peut être surprenant, ou pas tant en fait. C'est ce qui en fait le charme.

mercredi 1 septembre 2010

Concours I


Une nuit dans une suite du WenerGren Center avec accès au sauna à celle ou celui qui me donnera le prix de ce trio vin blanc amandes rôties (à plus ou moins 10SEK)...

dimanche 22 août 2010

Sveavägen & Old Timer



Gomme brûlée et cuir tanné, ça sentait le chaud samedi soir !

Il faut savoir que nombre de suédois sont fanatiques de vieilles voitures américaines et ont pour habitude de se retrouver sur une portion bien précise de Sveavägen, l'un des axes principaux de la ville et accessoirement la rue qui va de chez moi au centre ville. Là, ils font parler les chevaux, exhibent les moteurs et affinent leur bananes, et ouais !
Mais samedi soir, ce fut d'un tout autre niveau. En chemin pour un petit concert au centre-ville, je remarque de suite le caractère particulier de la soirée. Ce ne sont pas cinq ou six voitures, mais bien des centaines étalées sur 3km. La foule est dense, ça sent le burn-out et la queue de raton laveur. Autant dire que je ne suis jamais allé à mon concert et que je suite retourné chercher mon appareil photo. Même si je n'ai pas tout eu, et encore moins tout nette, voici un petit florilège des bestioles.


Burn-out, juste devant un flic... Ledit flic c'est fait huer par la foule quand il a certainement juste été leur dire de ne pas tuer quelqu'un...


Visez un peu la banane du gars !!!

Il a tout donné !

Lui aussi... mais personne n'en a voulu !

Atelier SECFLC (Swedisch East Coast Freaking LowCost Custom)












Je l'ai quasi ratée... Digne d'Al Capone, même les traces de balles sur le côté...


Ces mecs font pareil toute l'année (ou peut-être pas l'hiver, soit...) ou alors assis sur le rebord de la fenêtre, en roulant. Et les flics ne disent jamais rien...

Musique à blinde, fumée et boule disco... Même un frigo rempli de Spendrups




Le must, que j'ai malheureusement raté, fut un tandem à moteur vieux comme le monde conduit par un petit vieux.

Sommar i Stockholm



Marre de ces mariés ?! Moi aussi ! Presque deux mois d'absence ici et la perte quasi certaine de mes peu nombreux fidèles lecteurs. Mais voilà, à Stockholm, c'est l'été que beaucoup de choses se passent. Du coup, j'ai eu un peu moins de temps et surtout un peu moins de motivation à tenir le support à jour. Mais je vais tenter d'y remédier, tranquillement.
Je pense que je reviendrai sur certaines choses, mais entre des visites qui m'ont fait rudement plaisir, des micro-vacances à gauche à droite, un peu de boulot quand même et profiter pleinement de l'été suédois, j'ai bien été occupé !

Sinon, moi et ma prédisposition à l'apprentissage des langues commençons des cours de suédois mercredi ! Misère...

vendredi 2 juillet 2010

Kungligt brölloppet



En tant que bon petit suédois d'adoption, j'ai participé à la grand messe royale du 19 juin !

La futur reine Victoria, dynastie Bernadotte, a épouseé en grande pompe son ancien prof de gym Daniel Westling. Ou comment tenté de se réconcilier avec les 25% du peuple qui ne veulent plus de famille royale. Ou sachant qu'une partie des suédois souhaiteraient que la reine ou le rois soit élu par le peuple. Ceci est peut-être dû à la consanguinité qui semble frapper son père le rois de plein fouet ! Par contre, Victoria a la sympathie du peuple et a tout de même étudié à Yale avant de revenir jouer la princesse en terrain conquis forte d'un quadrilinguisme parfait.
Ca doit tout de même être amusant de se marier avec une future reine (bien qu'en y réfléchissant, je pense qu'il y a plus d'inconvénients que d'avantages, mais bon...). Par exemple, du jour au lendemain, le monsieur est devenu "Son Altesse royale le Prince Daniel, duc de Västergötland". Il n'a plus de nom de famille, c'est marqué ça dans son passeport !



Il m'a été donné de constater que les suédois sont effectivement grands. Au moment du tour en calèche des jeunes mariés, fort d'un emplacement judicieusement choisi, on pensait être bien placé. Mais à dix mètres de la route et séparé de celle-ci par un mur suédois tout excité, on a pas vu grand chose. Jouons donc à la version nordique de "Où est Charly ?" que nous appellerons "Var är krönt ?" sur cette photo prise sur la pointe des pieds et les bras tendus.


Ou sur celle-ci, mais c'est plus facile.


Et une petite vidéo pour sentir la ferveur nordique !



Bref, on s'est bien ennuyé en fait... Mais ça valait la peine d'être vécu !


dimanche 20 juin 2010

Epicure, si tu nous entends...


Deux mois que j'attendais de pouvoir tâter du rocher, je n'ai pas été déçu !

Petite virée au Tessin entre amis. Quatre jours de grimpe, ou presque, quatre jours de bon temps, quatre jours comme on en aimerait plus souvent. De la dalle comme s'il en pleuvait. De la hauteur, du vide, de l'adrénaline et une furieuse bonne ambiance...

Tack så mycket...

Sans épiloguer, je laisse les photos parler d'elles-même.

Traversée de la Suisse à 5 dans une Golf, que du bonheur...


Ca change du bloc en salle...

Aaah la dalle...


Initiation au tableclimbing par Max : une robuste table, un guet, un peu de pastis...


Mais voui, toujours beau au Tessin quoi...
(note : le parapluie, c'est pour la 'iande !)